[Une version révisée de cet entretien a été publiée pour la première fois dans le numéro 16 du Fluevog Post (printemps/été 2021)]
Patrick Davidson, gérant de la boutique Fluevog de Granville
Années de service chez Fluevog : 8
Quels sont vos modèles préférés du côté…
Des hommes : J’aime la famille Swordfish. Elle a du mordant!
Des femmes : Tout ce qui sort de la famille Baroque. C’est un mélange de classique et de déjanté… Un peu comme moi!
Quelle a été votre première expérience avec Fluevog?
Je me souviens être passé devant une boutique Fluevog vers la fin des années 1990 et m’être dit : « Qui est assez fou pour porter ça? ». Je comprends maintenant que c’est moi qui était fou à cette époque!
Quelle est votre boutique Fluevog préférée (à part la vôtre)?
La boutique de New York. Elle a une atmosphère similaire à celle de Granville. Ce serait agréable de vivre et de travailler là-bas quelque temps.
Décrivez brièvement Vancouver :
Vue de l’extérieur, Vancouver est magnifique. Au-delà des apparences, c’est une ville complètement folle, qui échappe à toute description; mais, elle a beaucoup à offrir si vous apprenez à la connaître.
Qu’est-ce que la dernière année vous a appris ?
La dernière année fut difficile pour tout le monde. Il doit y avoir un équilibre, et je crois donc que le meilleur est à venir! De plus, lorsque je penserai à cette période, je veux être fier de la personne que j’ai été.
Dites-nous quelque chose à votre propos qui pourrait nous surprendre :
J’ai travaillé au Canadian Derby — j’étais le trompettiste qui appelait les chevaux à la ligne de départ.
Dites-nous ce que vous aimez le plus de votre travail chez Fluevog :
Nous sommes tous des tordus! C’est agréable de pouvoir être soi-même et de ne pas avoir à faire attention aux autres de peur de se faire juger.
La prononciation la plus étrange de Fluevog que vous avez entendue :
Johnny Flue me fait toujours rire. « Hé, dis à Johnny de refaire ceci ou cela… »